
On ne peut rien faire de grand, c’est-à-dire hausser son vouloir au-delà des buts élémentaires de la vie, sans se référer, au moins tacitement, à ce qui dépasse le réel et qui, mesuré à la toise du monde, paraît nécessairement
illusoire.
La sagesse artiste, p. 90
Hermétique vu d'où je suis ...
RépondreSupprimerHELP !!!
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerHmm...je parie que le commentaire supprimé, c'est Vincent qui s'est lancé dans une dissert de philo, et qui a voulu revoir son papier...Perfectionnist, isn'it true ? (Attention les gars, une deuxième thèse en vue grâce à Julie !!! - Merci, Julie !)
RépondreSupprimerNon même pas ! J'ai encore rien écrit ! je réfléchis !
RépondreSupprimerPas trop quand même Vincent...;-))
RépondreSupprimerPrend soin de toi !
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerTiens encore une sur-pression, tu rames? Aba les idoles !
RépondreSupprimerAllez,une petite tournée de vélo d'apparttement pr Vincent,vu qu'il y a bcq d'eau dehors.
RépondreSupprimertu crois qu'il a un petit vélo chez lui? Marion ne passe pas pas souvent mais quand elle passe, elle ne fait pas le voyage pour rien!
RépondreSupprimermais qu'est-ce que tu veux dire par là ????
RépondreSupprimerJulie je suis pas dans mon assiette ! J'ai bossé ma thèse jusqu'à 4h30 cette nuit, il faut que je reprenne mes esprits... pardonne-moi pour le retard !
RépondreSupprimerj'ai du mal à trouver un bon exemple qui te parlerait... parce qu'en fait il s'agit de deux manières de voir les choses, il faut que tu te mettes dans la peau de quelqu'un qui doute de tout (pour caricaturer)...
RépondreSupprimerMerci Vincent...
RépondreSupprimerPas de soucis... ça m'arrive quelques fois d'être bloquée devant des mots...
Bon courage pour ta thèse... j'ai cru comprendre que c'était vraiment éprouvant...
après l'effrondrement, la reconstruction, courage frère cela est bon signe!
RépondreSupprimerJe croyais que la thèse était terminé pr toi,Vincent.
RépondreSupprimerAllez Vincent,je t'encourage.
dès que l'on a des proches, on a des reproches - Daniel Morin -
RépondreSupprimerSalut les gars et les gazelles de la Sangha ! Gros bisous a tous de Mangalore ou je m'apprete a rejoindre l'Anandashram, l'ashram du divin Ramdas ( qui cotoie depuis longtemps la droite du Seigneur-Ram).
RépondreSupprimerJe penserai a vous, ceux qui seront a En Calcat.
Bisous, Vince ! J'espere que ca va.
c'est dingue linda, tu es encore là bas ?
RépondreSupprimerCa boume? tu connais un resto?
RépondreSupprimerMerci, Linda, nous aussi, on pensera à Toi.
RépondreSupprimerBien à toi,Linda!
RépondreSupprimerTu parles, Fish-Fish, quand je passe chez lui il ne me laisse plus faire le ménage !
RépondreSupprimerD'ailleurs, y aura p't'être un peu de poussière chez moi demain...mais y aura de la glace aussi !
A demain ! Et plein de bises à Linda tout là-bas...on pense à toi !
Je ne t'oublie pas Julie !
RépondreSupprimerEn fait ce qu'il veut notamment dire, c'est qu'à un certain moment du chemin, on ne peut pas se dépasser soi-même vers quelque chose de plus grand que nous, sans que ce "plus grand" (qui en quelque sorte n'est pas visible) soit, au regard de ce dont on a déjà l'expérience, une sorte d'illusion.