
jeudi 28 août 2008
mercredi 27 août 2008
jeudi 21 août 2008
Osho

dimanche 17 août 2008
Marc Johnson
mardi 12 août 2008
lundi 21 juillet 2008
vendredi 18 juillet 2008
Swami Premananda

jeudi 26 juin 2008
En direct de Madagascar
Voici en exclusivité un reportage de mon ami Nicolas (lui écrit son prénom "Nicola", je n'ai jamais su pourquoi), parti à Madagascar depuis une semaine. Voilà 27 ans que nous nous connaissons, et je suis heureux qu'il soit heureux - d'autant que c'est l'amour qui l'a attiré sur cette immense île. Je lui ai bien sûr demandé l'autorisation de reproduire ici sa lettre.
Bonne lecture, ami(e)s de la Sangha !
Bon, internet ici c'est pas évident ... donc j'ai envoyé simplement ce mail à tout mon répertoire .... Désolé pour ceux que ça dérange ...
La nuit est vite tombée.
Nous sommes dimanche, les rues sont sombres après 18h.
La ville est trés calme aujourd'hui.
Lendemain de fête de la musique ou j'ai bu plus de THB qu'il n'en fallait pour rester raisonnable.
Mais je suis rentré seul malgré le succès rencontré hier soir dans les rues de Majunga. La THB serait-elle une potion magique où vous devenez irrésistible?
Combien de propositions lubriques, torrides et monnayable j'ai dû refuser ... quel succès!!
J'ai eu droit aux prix en détails suivant les prestations de services de mesdames , un vrai étalage du cahier des charges.
Je me souviens d'une proposition en détails, 40 minutes de massage, ensuite elle s'occupe de moi "en bas", puis l'amour, "mais la durée là ne dépend que de toi chéri chéri ..." qu'elle m'a dit.
Je ne vais pas vous parler du prix, vous risqueriez de prendre l'avion demain!
Allez ... 10 000 ar ... soit 4€!! ...
Qui est déjà sur internet pour chercher un vol???
Je plaisante, c'est un fléau ici, un gros défaut, une tache, ça me dégoûte ... Il faut rester prudent avec qui on boit des bière et on sort ici, les vieux porcs ne sont pas toujours si vieux.
Pour moi c'est un nouveau test, une nouvelle épreuve...
Mais j'avais encore toute ma tête pour réussir à semer Nadège et ne pas la laisser me suivre jusqu'à mon hôtel.
C'est l'hiver ici, il n'a pas plu depuis 2 mois et peu probable qu'il pleuve avant décembre. Un climat idéal pour moi et mon mal de dos.
Les bretons, et les Ch'tis se suicident vitent ici ...
Au pire de l'hiver le thermomètre osera pointer le bout de son nez sous les 20 degrés en plein milieu de la nuit.
Toujours personne dans un avion?
Après le pire printemps de ma pauvre petite existence d'occidental le soleil me fait du bien.
Il ne faut pas chercher à gagner de l'argent ici me répète-t-on tous les jours, on gagne une qualité de vie.
Un smicard gagne 30/40€ par mois, un ingénieur 300 .. tout est dit, réfléchissez ...
Je sors d'un restau de rue, trois bancs, un barbecue, des brochettes, des galettes de patates, une bière pour un peu moins de 2€.
Autant en Inde je sentais un fosset énorme entre l'orient et l'occident, autant ici, j'ai l'impression qu'il y a certains avantages de l'Inde (prix, joie de vivre, gens gentils, nature, climat ..) sans quelques de ses inconvénients (moins de maladies, moins de monde, ...) d'ailleurs Majunga ressemble à Pondichery.
Nous pauvres occidentaux corrompus et manipulés, dans notre bulle de paillettes dorées ornées d'artifices innombrables et futiles, buvant l'air des nos mœurs modernes et respirant les modes imposées, je me rends compte que nous sommes une petite minorité à vivre comme ça ... et on appelle cela le progrès.
Notre obsession pour la sécurité m'interroge.
Je peux traverser la ville à pieds à 22h ici sans soucis alors que je serais un peu plus tendu de fréquenter la gare du Nord à Paris ou de traverser la place Saint Pierre un soir de victoire du stade Toulousain, dans notre monde, la violence et l'épreuve de la provocation devient un rituel malin que j'essaye de comprendre ce soir.
Je n'ai pas vu de bus de CRS caché derrière un rue sombre le soir de la fête de la musique, attendant l'incident, le débordement pour lâcher les fauves sur la population. D'ailleurs les flics ne sont pas armés ici.
Et la représentation des armes est mal vue.
Il n'y a pas non plus de militaires armés de fusils mitrailleurs qui trainent dans les gares ou les lieux publics, faisant des rondes, soit- disant pour la sécurité de la population.
Majunga ressemble à Pondichery, quoi que Pondy est plus belle, mais Majunga est plus calme, plus douce, plus propre. J'échange 15 000 sourires par jours et je rends le bonjour à tous ceux qui me le donne, toujours avec le sourire.
J'ai atterri dans la capitale, Tana, rejoins Ancé, nous avons vite fui le froid et la pluie de cette fourmilière pour Majunga.
7 jours de vacances que je vous raconterai si vous voulez bien .. et si vous êtes sages ... et me voilà depuis 3 jours à chercher logement et travail ... j'ai trouvé je pense...
Des nouvelles bientôt, et je prendrai le temps de trier mes contacts...
Des bises
Veluma comme ils disent ici.
Nicola

La nuit est vite tombée.
Nous sommes dimanche, les rues sont sombres après 18h.
La ville est trés calme aujourd'hui.
Lendemain de fête de la musique ou j'ai bu plus de THB qu'il n'en fallait pour rester raisonnable.
Mais je suis rentré seul malgré le succès rencontré hier soir dans les rues de Majunga. La THB serait-elle une potion magique où vous devenez irrésistible?
Combien de propositions lubriques, torrides et monnayable j'ai dû refuser ... quel succès!!
J'ai eu droit aux prix en détails suivant les prestations de services de mesdames , un vrai étalage du cahier des charges.
Je me souviens d'une proposition en détails, 40 minutes de massage, ensuite elle s'occupe de moi "en bas", puis l'amour, "mais la durée là ne dépend que de toi chéri chéri ..." qu'elle m'a dit.
Je ne vais pas vous parler du prix, vous risqueriez de prendre l'avion demain!
Allez ... 10 000 ar ... soit 4€!! ...
Qui est déjà sur internet pour chercher un vol???
Je plaisante, c'est un fléau ici, un gros défaut, une tache, ça me dégoûte ... Il faut rester prudent avec qui on boit des bière et on sort ici, les vieux porcs ne sont pas toujours si vieux.
Pour moi c'est un nouveau test, une nouvelle épreuve...
Mais j'avais encore toute ma tête pour réussir à semer Nadège et ne pas la laisser me suivre jusqu'à mon hôtel.
C'est l'hiver ici, il n'a pas plu depuis 2 mois et peu probable qu'il pleuve avant décembre. Un climat idéal pour moi et mon mal de dos.
Les bretons, et les Ch'tis se suicident vitent ici ...
Au pire de l'hiver le thermomètre osera pointer le bout de son nez sous les 20 degrés en plein milieu de la nuit.
Toujours personne dans un avion?
Après le pire printemps de ma pauvre petite existence d'occidental le soleil me fait du bien.
Il ne faut pas chercher à gagner de l'argent ici me répète-t-on tous les jours, on gagne une qualité de vie.
Un smicard gagne 30/40€ par mois, un ingénieur 300 .. tout est dit, réfléchissez ...
Je sors d'un restau de rue, trois bancs, un barbecue, des brochettes, des galettes de patates, une bière pour un peu moins de 2€.
Autant en Inde je sentais un fosset énorme entre l'orient et l'occident, autant ici, j'ai l'impression qu'il y a certains avantages de l'Inde (prix, joie de vivre, gens gentils, nature, climat ..) sans quelques de ses inconvénients (moins de maladies, moins de monde, ...) d'ailleurs Majunga ressemble à Pondichery.
Nous pauvres occidentaux corrompus et manipulés, dans notre bulle de paillettes dorées ornées d'artifices innombrables et futiles, buvant l'air des nos mœurs modernes et respirant les modes imposées, je me rends compte que nous sommes une petite minorité à vivre comme ça ... et on appelle cela le progrès.
Notre obsession pour la sécurité m'interroge.
Je peux traverser la ville à pieds à 22h ici sans soucis alors que je serais un peu plus tendu de fréquenter la gare du Nord à Paris ou de traverser la place Saint Pierre un soir de victoire du stade Toulousain, dans notre monde, la violence et l'épreuve de la provocation devient un rituel malin que j'essaye de comprendre ce soir.
Je n'ai pas vu de bus de CRS caché derrière un rue sombre le soir de la fête de la musique, attendant l'incident, le débordement pour lâcher les fauves sur la population. D'ailleurs les flics ne sont pas armés ici.
Et la représentation des armes est mal vue.
Il n'y a pas non plus de militaires armés de fusils mitrailleurs qui trainent dans les gares ou les lieux publics, faisant des rondes, soit- disant pour la sécurité de la population.
Majunga ressemble à Pondichery, quoi que Pondy est plus belle, mais Majunga est plus calme, plus douce, plus propre. J'échange 15 000 sourires par jours et je rends le bonjour à tous ceux qui me le donne, toujours avec le sourire.
J'ai atterri dans la capitale, Tana, rejoins Ancé, nous avons vite fui le froid et la pluie de cette fourmilière pour Majunga.
7 jours de vacances que je vous raconterai si vous voulez bien .. et si vous êtes sages ... et me voilà depuis 3 jours à chercher logement et travail ... j'ai trouvé je pense...
Des nouvelles bientôt, et je prendrai le temps de trier mes contacts...
Des bises
Veluma comme ils disent ici.
Nicola
Impact du changement climatique sur les fonctions vitales des micro-organismes

Les microbes accomplissent un nombre de fonctions cruciales au profit des écosystèmes à travers le monde. Or, la compréhension des effets du changement climatique sur eux n’en est qu’à ses débuts, a indiqué Kathleen Treseder, de l’Université de Californie, Irvine. Treseder a étudié l’effet de la hausse des températures et des champignons sur les réserves de carbone dans les forêts boréales de l’Alaska, une zone du globe qui connaît un réchauffement plus important que d’autres. Il y a une grande quantité de matériaux morts sous la couverture de neige. Il y a autant de carbone piégé dans le sol des écosystèmes du Nord qu’il y en a dans l’atmosphère. Une grande inconnue est ce qui se produira si ces environnements se réchauffent, ajoute Treseder.
Elle a commencé ses recherches en supposant qu’une augmentation des températures conduirait à une décomposition accrue par les champignons. Sachant qu’un sous-produit de la décomposition par les champignons est le dioxyde de carbone, l’augmentation des températures entraînerait la libération d’une plus grande quantité de dioxyde de carbone en provenance du sol. Treseder trouva en fait que l’augmentation des températures s’accompagnait de niveaux d’azote accrus dans le sol, et que l’azote tendait à abaisser les taux de décomposition fongique. L’azote amoindrissait ainsi l’activité et la diversité. Résultat final : la production d’une moindre quantité de dioxyde de carbone par les champignons à mesure de l’augmentation des températures dans les écosystèmes du Nord.
La hausse des températures a aussi des conséquences sur la couverture de neige et les glaciers. Cela peut être néfaste aux communautés de micro-organismes vivant en dessous de ceux-ci. Steven Schmidt, de l’Université du Colorado, et ses collègues ont étudié les diverses populations de micro-organismes qui y vivent. Avec le retrait des glaciers, les micro-organismes perdent leur habitat. Ils s’éteindront probablement avant que les chercheurs ne puissent les étudier et ne se fassent une meilleure idée de leurs contributions. Schmidt a aussi étudié l’activité microbienne sous la couverture de neige dans les forêts de conifères. L’augmentation des températures aurait là aussi, globalement, des conséquences négatives.
Alors que la hausse des températures pourrait réduire la production microbienne de dioxyde de carbone, les niveaux croissants de dioxyde de carbone dus à l’activité humaine pourraient causer des changements subtils mais importants dans la composition des populations microbiennes, déclare John Kelly, de l’Université Loyola, Chicago. Kelly étudie l’effet d’une quantité accrue de dioxyde de carbone sur les populations microbiennes présentes aussi bien sur les feuilles des arbres dans le Michigan du Nord que dans les feuilles se décomposant dans les rivières. Il a observé un changement dans certaines populations microbiennes. Ceci pourrait avoir un énorme impact sur la chaîne alimentaire dans la mesure où les microbes sont une source d’éléments nutritifs pour les petits animaux qui se nourrissent sur les feuilles.
Les micro-organismes se révèlent sensibles aux changements globaux. La seule chose sur laquelle une incertitude demeure est la manière dont ils réagiront, conclut Treseder.

Source : © Centre International de Recherche Scientifique
lundi 23 juin 2008
Malade

J'ai battu mon record de sommeil : 24 heures sur 26 (et sans médicaments, s'il vous plait). Qui dit mieux ?
Plus sérieusement, c'était comment...?
lundi 16 juin 2008
jeudi 12 juin 2008
mardi 3 juin 2008
lundi 2 juin 2008
Le magicien d'os
Des paléontologues américains de l'université de Caroline du Nord auraient découvert des tissus mous constitués de vaisseaux sanguins et peut-être même de cellules ostéocytes au coeur d'un fémur fossilisé de Tyrannosaurus rex vieux de 68 millions d'années. Les vaisseaux sont similaires à ceux récupérés dans des os d'autruche.
"Si nous parvenons à isoler des protéines, nous pourrons apprendre d'avantage sur la physiologie des dinosaures et peut-être sur certains aspects de leur biochimie", explique Mary Schweitzer, la responsable de l'équipe. L'hypothèse selon laquelle les oiseaux en seraient les descendants pourrait être alors confirmée. En effet, l'observation au microscope électronique à balayage des cellules sanguines prélevées permettrait d'affirmer qu'elles contiennent un noyau comme c'est le cas pour les oiseaux. En fait, s'ils parviennent à isoler des protéines dans ces tissus, les chercheurs pourraient en apprendre davantage sur la manière dont vivaient ces dinosaures carnivores. Le spécimen découvert en 2003 dans l'Etat du Montana aux Etats Unis était conservé au Museum of Rockies de Bozeman.

dimanche 1 juin 2008
vendredi 30 mai 2008
Proverbe juif
jeudi 29 mai 2008
Véronique Desjardins

Porte donnant sur la voie, p. 48.
mardi 27 mai 2008
dimanche 25 mai 2008
Hamilton envoie du lourd
Comme mon coach vénéré n'est pas là pour vous donner l'info, je m'y colle : le fougueux Lewis a remporté le Grand Prix de Monaco cet après-midi, après avoir tapé les rails et crevé un pneu. Malebranche disait : "quand je danse, je danse, et quand je dors, je dors" - Lewis peut dire sans complexe : "quand j'attaque, j'attaque".
Une supernova filmée pour la première fois dès son début
"Nous étions au bon endroit, au bon moment, avec les bons télescopes, et nous avons été spectateurs de l'Histoire." L'astronome américaine Alicia Soderberg peut remercier la chance qui lui a permis, le 9 janvier, de filmer pour la première fois une supernova, l'explosion finale d'une étoile massive, depuis son tout début. Comme ses collaborateurs et elle le rapportent dans la revue Nature du 22 mai, c'est par le plus grand des hasards que l'événement a pu être observé.

Les chercheurs avaient pointé les instruments du télescope spatial Swift (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Italie) sur la galaxie NGC 2770, située à quelque 90 millions d'années-lumière, dans la constellation du Lynx. Ils voulaient y étudier les restes d'une autre supernova lorsqu'une bouffée d'énergétiques rayons X envahit les images envoyées par Swift. L'événement dure une poignée de minutes. Un peu plus d'une heure après, Swift observe une contrepartie de l'événement, non plus dans le segment du spectre électromagnétique correspondant aux rayons X, mais dans les ultraviolets et la lumière visible. Comprenant la signification de ce qui était en train de se dérouler, Alicia Soderberg monte sur-le-champ une campagne internationale, incluant plusieurs instruments très performants comme le télescope spatial Hubble ou le grand télescope Keck-I, à Hawaï.Comme l'explique Peter Meszaros, qui dirige l'équipe Théorie de la mission Swift, l'un des enseignements les plus fascinants de ce phénomène cosmique ultraviolent est qu'une partie du matériau éjecté lors de l'explosion de l'étoile "a atteint des vitesses allant jusqu'à 70 % de la vitesse de la lumière", soit 210 000 km/s et bien plus que ce qui avait été observé jusqu'alors. Selon Alicia Soderberg, cet événement devrait devenir, pour les astronomes, "la pierre de Rosette des études sur les supernovae pour les années qui viennent".
Pierre Barthélémy
Article paru dans l'édition du Monde du 24.05.08.
Pierre Barthélémy
Article paru dans l'édition du Monde du 24.05.08.
samedi 24 mai 2008
Blagounette du petit matin

Au bout de deux ans, un cheval sauvage entre dans la grotte et en ressort aussitôt.
Deux ans plus tard, le premier dit:
- Quel beau cheval blanc !!!
Quatre ans plus tard le second dit :
- D'abord il était pas blanc, il était gris.
Six ans plus tard, le troisième dit:
- Puisque vous faîtes que de vous engueuler, je me casse.
A méditer
Un internaute raconte :
"Il y a plusieurs années, quand je travaillais comme bénévole dans un hôpital, j'ai connu une petite fille qui s'appelait Lise, elle souffrait d'une sérieuse maladie rare. Le seul espoir qu'elle s'en sorte semblait être qu'elle reçoive une transfusion sanguine de son petit frère de 5 ans qui avait miraculeusement survécu à la même maladie et avait développé les anti-corps requis pour la combattre. Le médecin expliqua la situation au petit frère et lui demanda si il serait prêt à donner son sang à sa soeur. Je l'ai vu hésiter un instant avant de prendre une grande respiration et répondre : " Oui je vais le faire si c'est pour la sauver. " Au cours de la transfusion, il était étendu dans un lit au côté de sa soeur et il a souri, comme nous tous, quand il a vu sa soeur reprendre des couleurs. Puis il a pâli et son sourire s'est fané. Il a levé les yeux vers le médecin et lui a demandé d'une voix tremblante : " Est-ce que je vais commencer à mourir tout de suite ? " Étant jeune, le petit garçon avait mal compris le médecin ; il croyait qu'il devait donner à sa soeur tout son sang pour la sauver."

jeudi 22 mai 2008
mercredi 21 mai 2008
lundi 19 mai 2008
Jean Biès

Passeports pour des temps nouveaux, p. 96-97.
samedi 17 mai 2008
Romain Rolland
Nous ne choisissons point.
Notre destin choisit.
Et la sagesse est de nous montrer dignes de son choix,
quel qu'il soit.
quel qu'il soit.
Platon

La République.
vendredi 16 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
Amen

Le mouvement du Soleil dans la Voie Lactée déclenche régulièrement un mouvement de comètes en direction du système solaire interne, la périodicité du phénomène coïncidant avec les extinctions de masse de la vie sur Terre. Tel est le résultat d’une étude menée par les scientifiques du Centre d’Astrobiologie de Cardiff (Royaume-Uni). Elle suggère ainsi l’existence d’un lien entre bombardement par les comètes et mouvement à travers la galaxie.
Les chercheurs ont construit un modèle informatique du mouvement de notre système solaire et trouvé qu’il « rebondissait » vers le haut et vers le bas à travers le plan de la galaxie. A mesure que l’on traverse la partie la plus dense du plan, les forces gravitationnelles des nuages de gaz et de poussière environnants délogent les comètes de leur trajectoire. Celles-ci plongent alors dans le système solaire, certaines d’entre elles entrant en collision avec la Terre.
L’équipe de chercheurs a trouvé que le système solaire traversait le plan galactique tous les 35 à 40 millions d’années. Les indications apportées par les cratères sur Terre suggèrent par ailleurs que celle-ci subit un plus grand nombre de collisions tous les 36 millions d’années approximativement. Il s’agit d’une remarquable correspondance entre ce qui est observé au sol et ce qui est attendu au niveau galactique, note le professeur William Napier, du Centre d’Astrobiologie de Cardiff.
Les périodes de bombardement par les comètes coïncident aussi avec les extinctions de masse, telle que celle des dinosaures, il y a 65 millions d’années. Notre position actuelle dans la galaxie suggère que nous sommes très proches d’une nouvelle période de ce genre.
L’effet de « rebond », cause possible de la disparition des dinosaures, pourrait aussi avoir aidé la vie à s’étendre. Les scientifiques suggèrent que l’impact aurait projeté des débris contenant des micro-organismes dans l’espace et à travers l’Univers.
Il s’agit d’un article important qui place l’interaction comète-vie sur une base ferme, et dévoile un mécanisme par lequel la vie est susceptible d’être dispersée à l’échelle galactique, déclare Chandra Wickramasinghe, directeur du Centre.

Source : © Centre International de Recherche Scientifique
Les chercheurs ont construit un modèle informatique du mouvement de notre système solaire et trouvé qu’il « rebondissait » vers le haut et vers le bas à travers le plan de la galaxie. A mesure que l’on traverse la partie la plus dense du plan, les forces gravitationnelles des nuages de gaz et de poussière environnants délogent les comètes de leur trajectoire. Celles-ci plongent alors dans le système solaire, certaines d’entre elles entrant en collision avec la Terre.
L’équipe de chercheurs a trouvé que le système solaire traversait le plan galactique tous les 35 à 40 millions d’années. Les indications apportées par les cratères sur Terre suggèrent par ailleurs que celle-ci subit un plus grand nombre de collisions tous les 36 millions d’années approximativement. Il s’agit d’une remarquable correspondance entre ce qui est observé au sol et ce qui est attendu au niveau galactique, note le professeur William Napier, du Centre d’Astrobiologie de Cardiff.

Les périodes de bombardement par les comètes coïncident aussi avec les extinctions de masse, telle que celle des dinosaures, il y a 65 millions d’années. Notre position actuelle dans la galaxie suggère que nous sommes très proches d’une nouvelle période de ce genre.
L’effet de « rebond », cause possible de la disparition des dinosaures, pourrait aussi avoir aidé la vie à s’étendre. Les scientifiques suggèrent que l’impact aurait projeté des débris contenant des micro-organismes dans l’espace et à travers l’Univers.
Il s’agit d’un article important qui place l’interaction comète-vie sur une base ferme, et dévoile un mécanisme par lequel la vie est susceptible d’être dispersée à l’échelle galactique, déclare Chandra Wickramasinghe, directeur du Centre.

Source : © Centre International de Recherche Scientifique
mercredi 7 mai 2008
Avis à la Sangha
Voilà plusieurs mois que nous n'avons pas répété l'expérience du partage sur un thème : est-ce que cela vous dirait de nous donner rendez-vous mercredi prochain ?
Je propose comme sujet : Dieu.
Cela nous donne une semaine pour observer, interpréter, mûrir et manduquer ce que l'expérience nous enseigne.
A vos claviers ! Je vous embrasse tous.
(Photo prise en février dernier dans une grotte d'Arunachala
Je propose comme sujet : Dieu.
Cela nous donne une semaine pour observer, interpréter, mûrir et manduquer ce que l'expérience nous enseigne.
A vos claviers ! Je vous embrasse tous.
où le Maharshi a médité plusieurs années)
samedi 3 mai 2008
Un poil de pub
Voilà bien longtemps que j'y pense,
et c'est aujourd'hui que j'agis - mieux vaut tard que jamais, paraît-il.
Je voulais seulement attirer votre attention sur le blog de Yannick :
un blog chou-chou, donc.
Un blog riche d'anecdotes vécues, d'analyses,
de beautés de toutes sortes,
bref, un blog qui me nourrit !
Merci Yannick pour tous ces partages,
qui sont autant de rappels et d'aides sur ma voie.
Je voulais seulement attirer votre attention sur le blog de Yannick :
un blog chou-chou, donc.
Un blog riche d'anecdotes vécues, d'analyses,
de beautés de toutes sortes,
bref, un blog qui me nourrit !
Merci Yannick pour tous ces partages,
qui sont autant de rappels et d'aides sur ma voie.
