Arunachala, la montagne sacrée.
vendredi 30 mai 2008
jeudi 29 mai 2008
Véronique Desjardins
mardi 27 mai 2008
dimanche 25 mai 2008
Hamilton envoie du lourd
Une supernova filmée pour la première fois dès son début
Pierre Barthélémy
Article paru dans l'édition du Monde du 24.05.08.
samedi 24 mai 2008
Blagounette du petit matin
Trois moines Tibétains se sont retirés pour méditer dans une grotte.
Au bout de deux ans, un cheval sauvage entre dans la grotte et en ressort aussitôt.
Deux ans plus tard, le premier dit:
- Quel beau cheval blanc !!!
Quatre ans plus tard le second dit :
- D'abord il était pas blanc, il était gris.
Six ans plus tard, le troisième dit:
- Puisque vous faîtes que de vous engueuler, je me casse.
A méditer
Un internaute raconte :
jeudi 22 mai 2008
mercredi 21 mai 2008
lundi 19 mai 2008
Jean Biès
samedi 17 mai 2008
Romain Rolland
quel qu'il soit.
Platon
Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie.
vendredi 16 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
Amen
Les chercheurs ont construit un modèle informatique du mouvement de notre système solaire et trouvé qu’il « rebondissait » vers le haut et vers le bas à travers le plan de la galaxie. A mesure que l’on traverse la partie la plus dense du plan, les forces gravitationnelles des nuages de gaz et de poussière environnants délogent les comètes de leur trajectoire. Celles-ci plongent alors dans le système solaire, certaines d’entre elles entrant en collision avec la Terre.
L’équipe de chercheurs a trouvé que le système solaire traversait le plan galactique tous les 35 à 40 millions d’années. Les indications apportées par les cratères sur Terre suggèrent par ailleurs que celle-ci subit un plus grand nombre de collisions tous les 36 millions d’années approximativement. Il s’agit d’une remarquable correspondance entre ce qui est observé au sol et ce qui est attendu au niveau galactique, note le professeur William Napier, du Centre d’Astrobiologie de Cardiff.
Les périodes de bombardement par les comètes coïncident aussi avec les extinctions de masse, telle que celle des dinosaures, il y a 65 millions d’années. Notre position actuelle dans la galaxie suggère que nous sommes très proches d’une nouvelle période de ce genre.
L’effet de « rebond », cause possible de la disparition des dinosaures, pourrait aussi avoir aidé la vie à s’étendre. Les scientifiques suggèrent que l’impact aurait projeté des débris contenant des micro-organismes dans l’espace et à travers l’Univers.
Il s’agit d’un article important qui place l’interaction comète-vie sur une base ferme, et dévoile un mécanisme par lequel la vie est susceptible d’être dispersée à l’échelle galactique, déclare Chandra Wickramasinghe, directeur du Centre.
Source : © Centre International de Recherche Scientifique
mercredi 7 mai 2008
Avis à la Sangha
Je propose comme sujet : Dieu.
Cela nous donne une semaine pour observer, interpréter, mûrir et manduquer ce que l'expérience nous enseigne.
A vos claviers ! Je vous embrasse tous.(Photo prise en février dernier dans une grotte d'Arunachala
samedi 3 mai 2008
Un poil de pub
Je voulais seulement attirer votre attention sur le blog de Yannick :
un blog chou-chou, donc.
Un blog riche d'anecdotes vécues, d'analyses,
de beautés de toutes sortes,
bref, un blog qui me nourrit !
Merci Yannick pour tous ces partages,
qui sont autant de rappels et d'aides sur ma voie.
vendredi 2 mai 2008
jeudi 1 mai 2008
Les premières populations d'Homo sapiens
MtADN, hérité par la lignée maternelle, a été utilisé pour découvrir l’âge de l‘Eve mitochondrial’ en 1987. Ce travail a depuis été étendu pour montrer de manière non équivoque que l’ancêtre femelle commun le plus récent de tout être humain vivant aujourd’hui était une femme africaine qui vivait il y a 200.000 ans. Les paléontologues procurent des informations corroboratives selon lesquelles notre espèce est originaire de ce continent, il y a de cela environ 200.000 ans.
Les migrations qui eurent lieu durant les 60.000 dernières années et conduisirent les hommes modernes à peupler le monde a été le premier champ d’attention de la recherche génétique anthropologique. Mais l’on sait peu sur l’histoire démographique de notre espèce lors des premiers 140.000 ans en Afrique. Tel est l’objet de la nouvelle étude.
Doron Behar, de la Rambam Medical Center, qui a dirigé l’étude, fait part de l’observation de forts témoignages en faveur de l’idée de fractionnements de l’ancienne population à compter d’il y a de cela 150.000 ans, entraînant l’émergence de populations séparées localisées en Afrique de l’Est et du Sud. Des données paléoclimatologiques suggèrent que l’Afrique de l’Est a subi une série de sécheresses massives entre moins 135.000 et moins 90.000 ans. Il est possible que ce changement climatique contribua aux fractionnements des populations.
Ce n’est qu’à compter d’il y a de cela 40.000 ans que ces populations séparées devinrent parties d’une seule population pan-africaine, finalement réunifiée au bout de 100.000 ans. Ce qui est surprenant, c'est la durée pendant laquelle les populations sont demeurées séparées, à savoir la moitié de toute notre histoire en tant qu’espèce.
Saharon Rosset, de l’IBM T.J. Watson Research Center, NY and Tel Aviv University, note que l’on observe une période d’expansion de la population débutant il y a 70.000 ans, qui aurait conduit à la sortie d’Afrique. La chronologie des événements coïncide avec le début de l’Age de pierre tardif en Afrique, un changement dans la culture matérielle que beaucoup d’archéologues considèrent comme marquant le début du comportement humain moderne, dont la pensée abstraite et le langage parlé complexe.
Les études précédentes ont montré que les populations humaines étaient relativement faibles avant l’Age de Pierre Tardif, réunissant peut-être même moins de 2.000 membres aux alentours de moins 70.000 ans. L’expansion qui suivit a conduit à l’occupation de nombreuses zones auparavant inhabitées, dont le monde au delà de l’Afrique.
L’étude exprime le pouvoir que recèle la génétique dans la connaissance des événements clés de l’histoire de notre espèce. De petits groupes de premiers humains, contraints de se disperser sous l’effet de conditions environnementales rudes, se réunifiant puis peuplant le monde. Une véritable épopée dramatique, écrite dans nos gènes, indique le Dr Spencer Wells, du National Geographic Explorer-in-Residence. Le paléontologue Meave Leakey, professeur à la Stony Brook University, se demande pour sa part qui aurait pu imaginer qu’à un moment aussi rapproché, il y a de cela 70.000 ans, des événements climatiques extrêmes entraînèrent une réduction de la population humaine à une quantité aussi faible d’individus, plaçant l’espèce à l’extrême bord de l’extinction.
Source : © Centre International de Recherche Scientifique