Arunachala, la montagne sacrée.

Arunachala, la montagne sacrée.

dimanche 18 mars 2007

Ce soir, sushis maison pour le premier vrai repas de Marion comme invitée solennelle dans mon nouveau "chez-moi". Un vrai festin, à vrai dire - ce n'est pas la Voie du Milieu, mais c'était un excès en conscience, pour ce qui me concerne (enfin j'ai essayé).
Ensuite, promenade dans Toulouse, glaces à la clé. Je dis bien glaceS, étant donné que Marion ne s'est pas contenté d'une mesquine coupe "Manhatan" (plus d'un, à ce stade, aurait calé), mais a également sauté sur le cornet à deux boules de la rue suivante - à peine trois minutes après que nous soyons sortis du café, le temps de la marche, quoi ! (elle va adorer que je raconte ça !)
Puis, de retour sous les toits, nous avons regardé avec émerveillement une interview d'Arnaud (d'où j'ai extrait la formule de Taisen Deshimaru, qui nous a bien fait rire) pendant presque deux heures je crois.
Marion repartie, c'était le moment de faire les préparatifs pour le prochain séjour à Hauteville : départ lundi matin après une nuit de travail... nous verrons bien dans quel état j'arriverai ! Préparatifs = repassage. Deux heures, donc, en compagnie de l'Ensemble Organum interprétant les Chants de l'église milanaise - une musique du temps de Saint Augustin... Autant dire que le temps s'est quasiment arrêté. J'en ai même oublié à deux reprises le thé que j'avais préparé, puis préparé à nouveau.
Et tout de suite, c'est une paisible gratitude que je ressens.
Bon dimanche à vous...

1 commentaire:

Marion M. a dit…

Merci pour cette si belle soirée...je t'embrasse fort. Et j'assume totalement pour les glaces ! "Oui à ce qui est !"...