Arunachala, la montagne sacrée.

Arunachala, la montagne sacrée.

dimanche 29 avril 2007

Debriefing

Finalement, ce fut bien une grande pizza ! Clément a même suivi. Un beau cigare chez moi ensuite pour faire passer le dessert..., et le tour était joué.

Sur les toits vit un petit chat qui vient me rendre visite quand j'ouvre les vélux, et il m'a un peu embêté cette nuit.
Voilà pour les news.

Ah si, la petite tartelette aux fruits rouges que Marion m'a apportée cet après-midi pour le goûter était super bonne !

Quand je pense que je n'aimais rien quand j'étais petit - tout change...

samedi 28 avril 2007

Et pizza risque de faire mal


Ce soir, rendez-vous à la pizzeria avec Marion, Laurence et Clément : attention, je prévois de prendre une "grande" pizza. Sachant que dans cette pizzeria, les "grandes" sont encore plus grandes que ce que vous pouvez imaginer - d'ailleurs, même les connaissant, on est toujours surpris quand on les voit arriver. Enfin, c'est pas vraiment une décision, c'est plutôt un fantasme ! On verra bien comment je le sens une fois là-bas...

vendredi 27 avril 2007

Saint Augustin

Avant tout donc il est nécessaire d'être converti par la crainte de Dieu pour connaître sa volonté et les préceptes qu'elle donne sur ce qu'on doit rechercher et fuir. Il faut que cette crainte imprime en nous la pensée de notre mortalité et de notre mort future et qu'elle fixe à notre chair comme par des clous dans le bois de la Croix tous les mouvements d'orgueil. Elle a besoin de s'adoucir ensuite par la piété...
Après ces deux degrés de la crainte et de la piété, il faut en venir au troisième, qui est celui de la science... Là s'exercent tous ceux qui étudient les divines Ecritures, pour ne trouver en elles rien d'autre que ceci : Dieu doit être aimé pour Dieu et le prochain pour Dieu... Mais alors cette crainte par laquelle on pense au jugement de Dieu et cette piété par laquelle on ne peut que croire et céder à l'autorité des livres saints conduisent l'homme à pleurer sur lui-même. En effet cette science du bon espoir fait que l'homme ne se vante pas mais se lamente : dans cette disposition, il obtient par des prières ferventes la consolation de l'aide divine, pour ne pas être brisé par le désespoir, et il commence à se trouver dans le quatrième degré, celui de la force [fortitudo] où l'on a faim et soif de la justice. Par cette disposition il s'arrache à tous les agréments des choses transitoires, qui sont porteurs de mort et s'en détournant il se convertit à l'amour des choses éternelles, c'est-à-dire à l'unité immuable et en même temps à la Trinité. Quand il l'a vue, autant qu'il peut, rayonnante au loin et lorsqu'il s'est aperçu que la faiblesse de sa vue l'empêche de supporter cette lumière, il purifie son âme qui est en quelque façon dans le tumulte et le fracas à cause des souillures qu'elle a reçues de ses appétits inférieurs. C'est là qu'elle s'exerce savamment dans la dilection du prochain et y trouve la perfection. Et lorsque, déjà plein d'espoir, dans l'intégrité de ses forces, il est parvenu jusqu'à l'amour [dilectio] de son ennemi, il monte au sixième degré, où il purifie désormais son oeil lui-même, par lequel Dieu peut être vu, selon qu'il est possible à ceux qui meurent à ce monde autant qu'ils peuvent... Un tel fils s'élève jusqu'à la sagesse, qui occupe l'ultime et le septième rang. Il en jouit dans la paix et la tranquillité.
De l'enseignement chrétien, II, 7, 9-11.

Africa

jeudi 26 avril 2007

Lanza Del Vasto




L'oeil qui voit tout ne voit pas son regard.
Nul n'a vu Dieu.
Car dans tout oeil c'est Dieu qui voit.

Eloge de la vie simple, § CLIV.

Lanza Del Vasto



Jusqu'ici tu as voulu et agi selon ta pensée. Tu n'as jamais voulu ta pensée, tu n'as jamais pensé : la pensée a pensé en toi comme dehors il pleut.
Maintenant, monte au-dessus des nuages et pense selon ton vouloir.

Eloge de la vie simple, § CXLII.

mercredi 25 avril 2007

Une fille toute simple

Shrî Gnânânanda

Rentre en toi
au lieu où il n'y a rien
et prends garde au fait que rien n'y vienne
Pénètre au-dedans de toi
jusqu'au lieu où nul penser n'est plus,
et prends garde que nul penser ne s'y lève !

Là où rien n'est,
le Plein !
Là où rien n'est vu,

Vision de l'Être !
Là où rien n'apparaît plus,
Apparition du Soi !

Dhyâna, c'est cela !

Cité par Henri Le Saux, Gnânânanda, un maître spirituel au pays tamoul, p. 110.

Samadhi


Un beau bébé que ce William !

mardi 24 avril 2007

Miracle

Shrî Aurobindo

Il existe un certain état de conscience yoguique où toutes choses deviennent belles à l'oeil qui les voit, tout simplement parce que spirituellement elles le sont, parce qu'elles sont la transcription en ligne, forme, qualité, force d'existence et de conscience, de l'Ananda qui gouverne le monde, du Divin caché. Ce qu'est une chose pour le sens extérieur peut ne pas être - et souvent n'est pas - beau pour la vision esthétique ordinaire, mais le yogin y voit quelque chose "en plus" que l'oeil externe ne perçoit pas, il voit l'âme qui est par-derrière, il voit le Soi et l'esprit, il voit aussi des lignes, des tonalités, des harmonies et des dispositions expressives qui ne sont ni visibles ni appréciables à première vue superficielle. On peut dire qu'il apporte dans l'objet quelque chose du même genre, mais d'une autre façon. Toutefois ce n'est pas tout à fait cela. Leur vision paraît être, ils découvrent ce quelque chose "en plus" qu'il est. Et ainsi, de ce point de vue d'une harmonie suprême réalisée, tout est ou peut-être un sujet pour l'artiste, parce qu'en tout il peut découvrir et révéler la Beauté qui est partout. [...]

Et c'est parce que dans l'Art, de même que la technique n'est pas tout, la Beauté elle-même n'est pas tout. L'art n'est pas seulement technique ou forme de Beauté, pas seulement découverte ou expression de Beauté ; c'est une expression de soi de la Conscience dans les conditions de vision esthétique et d'une parfaite excécution. Ou, en d'autres termes, ce qui entre dans l'art, ce ne sont pas seulement des valeurs esthétiques, mais des valeurs de vie, des valeurs mentales, des valeurs d'âme. L'artiste exprime dans la forme non seulement les pouvoirs de sa propre conscience, mais ceux de la Conscience qui a fait les mondes et leurs objets.
Oeuvres complètes (12), Réponses, § 427

Pénélope

Un gros coup de coeur pour le blog de Pénélope Ma vie est tout à fait fascinante, que j'ai mis dans les liens : n'hésitez pas à aller lui rendre visite, c'est un délice !
Je posterai de temps en temps ses dessins. Merci Pénélope.

Juré, ça m'est vraiment arrivé

C'était beau !

Darshan à la Réunion

lundi 23 avril 2007

Pour Philippe

Bonjour Philippe, je viens de lire ton post et donc d'apprendre la nouvelle : je te souhaite un prompt rétablissement, et un moral à tout casser ! (enfin... "à tout casser", c'était pas vraiment la meilleure formule...!)
Pourquoi ne pas faire un petit blog pour élargir le partage et intensifier la sangha ? Je suis sûr qu'il serait super.

Bernard de Clairvaux

En un premier temps, cette connaissance provoque le repentir, c'est-à-dire la douleur : le rire alors se change en larmes, le chant en lamentations, la joie en deuil. Et tout ce qui, auparavant, te plaisait tellement se met à te déplaire, et tu prends tout spécialement en aversion ce qui te plaisait tout spécialement. Car voici ce qui est écrit : "Qui accroît sa connaissance, accroît aussi sa douleur", en sorte que nous trouvons une preuve d'une connaissance authentique et juste dans la douleur qu'elle entraine.
En un deuxième temps, la connaissance conduit à se corriger : désormais, "tu ne fais plus de tes membres des instruments d'injustice", mais tu réfrènes la gourmandise, tu jugules la luxure, tu rabaisses l'orgueil, et tu mets ton corps au service de la sainteté, tout comme auparavant il était au service de l'injustice. En effet, le repentir sans la correction ne sert de rien ; comme le dit le Sage : "L'un bâtit, l'autre démolit : qu'ont-ils gagné sinon du labeur ?" En effet, à celui qui s'est purifié après avoir touché un mort, puis le touche à nouveau, il ne sert de rien de s'être lavé". Au contraire, selon la parole du Sauveur, "qu'il veille à ce qu'il ne lui arrive pas quelque chose de pire".
Mais comme on ne peut persévérer bien longtemps dans ces attitudes si l'esprit, infatigablement, ne veille lui-même avec la plus extrême attention, en un troisième temps la connaissance suscite la vigilance : désormais l'homme se met "à marcher en toute vigilance avec son Dieu", se surveillant de tous côtés de peur d'offenser, si peu que ce soit, le regard de cette redoutable Majesté.
Au degré du repentir, on est allumé ; à celui de la correction, on brûle ; à celui de la vigilance, on éclaire, de telle sorte que l'on se trouve rénové intérieurmeent et extérieurement.

Troisième Sermon pour la Vigile de Noël, 3-4.

dimanche 22 avril 2007

Boèce

C'est pourquoi, dit-elle, le sage ne doit pas supporter difficilement tous les cas où il se trouve mis en conflit avec la fortune, de même qu'il ne convient pas pour un homme courageux de s'indigner lorsque a retenti le signal de la guerre. A chacun des deux en effet, à l'un pour étendre sa gloire, à l'autre pour se conformer à la sagesse, la difficulté même donne matière. C'est aussi de là que la vertu tient son nom parce que en s'appuyant sur ses propres forces elle n'est pas dominée par l'adversité ; vous également, qui vous consacrez à faire progresser votre vertu, vous n'êtes pas venus pour vous fondre dans les délices et vous dissoudre dans la volupté. Vous engagez avec toute fortune un âpre combat spirituel, pour que, funeste, elle ne vous écrase pas, ou, agréable, ne vous corrompe pas. Avec des forces fermes tenez le milieu ; tout ce qui subsiste au-dessous ou progresse au-delà, implique le mépris du bonheur, non la récompense du labeur. Il vous appartient (c'est dans votre main) de savoir quelle forme vous voulez donner à votre fortune. Car toute fortune d'apparence rude, si elle ne nous exerce ou ne nous corrige, nous punit.

Consolation de Philosophie, IV, prose 6, 17-22.

Guillaume de Saint-Thierry

La raison comporte une sobriété plus grande, l'amour une béatitude plus grande. Cependant, puisque, comme je l'ai dit, ils s'aident entre eux, que la raison enseigne l'amour et que l'amour illumine la raison, il arrive aussi que la raison aboutisse à l'affection amoureuse et que l'amour accepte d'être contenu dans les limites de la raison. Ils peuvent quelque chose de grand. Mais qu'est-ce que leur pouvoir ? De même que celui qui fait un progrès n'a pu apprendre à le faire, si ce n'est par l'expérience, de même il n'a pu le communiquer à celui qui n'en fait pas l'expérience. C'est que, selon la parole de l'Ecriture, "à sa joie l'étranger ne se mêlera pas".
Dès lors, l'âme, nourrie jusqu'alors tendrement par la suavité et les délices de l'amour, mais quelquefois marquée par les leçons des châtiments que lui infligeait la pitié paternelle, est envahie par "la dilection forte comme la mort" : elle meurt sous le doux glaive de l'amour et la dilection la fait profondément mourir au siècle et à ses affections et l'emporte comme la mort emporte le corps.

De la nature et de la dignité de l'amour, 25-26.

samedi 21 avril 2007

jeudi 19 avril 2007

Petit plaisir d'après-midi

Surprises à la Réunion

Un article étonnant de la revue Nature

http://www.nature.com/news/2006/061127/full/444534a.html

Ramakrishna

Ne discutez pas les doctrines et les religions, elles sont une.
Toutes les rivières vont à l'océan.
La grande eau se fraie mille chemins le long des pentes.
Selon les races, les âges et les âmes, elle court en des lits différents, mais c'est toujours la même eau.

mercredi 18 avril 2007

dimanche 15 avril 2007

Cros Rhube

Voilà, le méchant virus de la semaine dernière a réapparu depuis deux jours, avec fièvre et vertiges en prime aujourd'hui - une bonne opportunité d'observation de tous les refus qui se lèvent encore et encore et encore...
Bref, encore une journée dans les choux, avant d'aller retrouver l'hôtel et ses éternelles surprises.

Ca valait bien un post.

vendredi 13 avril 2007

Alain

La Voie peut se résumer aux deux slogans de Nike et de Canon : "do it" et "you can".
Pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais, ça veut dire : "bouge-toi le cul, tu peux le faire !"

ô Toulouse

Eckhart Tolle

La liberté commence quand vous prenez conscience que vous n'êtes pas cette entité, c'est-à-dire le penseur. En sachant cela, vous pouvez alors surveiller cette entité. Dès l'instant où vous vous mettez à observer le penseur, un niveau plus élevé de conscience est activé. Vous comprenez petit à petit qu'il existe un immense royaume d'intelligence au-delà de la pensée et que celle-ci ne constitue qu'un infime aspect de cette intelligence. Vous réalisez aussi que toutes les choses vraiment importantes - la beauté, l'amour, la créativité, la joie, la paix - trouvent leur source au-delà du mental.

Et vous commencez alors à vous éveiller

Mâ Ananda Mayî




Vous seul existez. En vérité, vous êtes contenu en chaque chose, vous être Cela même. Dans l'infini il n'y a que Lui. Seul je suis.

Pour commencer la nuit, ou la journée, en douceur

jeudi 12 avril 2007

Alain (alias iPapy)

Il n'est jamais trop tard pour ouvrir son coeur.

Tiens, tiens...

mercredi 11 avril 2007

Un obus sinon rien


Oui, je sais, il est déjà tard, et dans mon monde ça ne se fait pas vraiment d'allumer un cigare à 22h30.
- pourquoi ?
- La question n'est pas là.

Mâ Ananda Mayî




Cette petite fille (Mâ) vous implore, vous tous, de choisir un chemin, ici et maintenant. Vous ne devez pas grignoter votre temps à de vains efforts. Qui sait si vous serez encore en vie dans quelques instants ?

Thérèse de Lisieux

Lorsque je lis certains traités spirituels où la perfection est montrée à travers mille entraves, environnée d'une foule d'illusions, mon pauvre petit esprit se fatigue bien vite ; je ferme le savant livre qui me casse la tête et me dessèche le coeur et je prends l'Ecriture sainte ; alors, tout me semble lumineux, une seule parole découvre à mon âme des horizons infinis. [...] Laissant aux grandes âmes, aux grands esprits les beaux livres que je ne puis comprendre, encore moins mettre en pratique [...], la perfection me semble facile, je vois qu'il suffit de reconnaître son néant et de s'abandonner comme un enfant entre les mains de Dieu.

Eliane Elias

mardi 10 avril 2007

lundi 9 avril 2007

Mâ Ananda Mayî

Une concentration profonde sur l'élément de base de l'un quelconque des cinq sens - ouïe, toucher, odorat, goût et vue, c'est-à-dire l'air, la terre, l'eau, etc. - conduit l'homme à fondre son identité en eux, et au fur et à mesure que la concentration s'approfondit, le corps pour ainsi dire se glace peu à peu. Alors, cet objet particulier des sens envahit l'être tout entier ; son ego se dissout progressivement en lui et s'intègre dans l'unique entité universelle. A ce moment-là, la conscience du Soi universel unique fond à son tour et ce qui reste dépasse tous les mots, toutes les expressions, toutes les expériences.

Saint Jean de la Croix



Si un homme veut être sûr de son chemin, qu'il ferme les yeux et marche dans l'obscurité.

Horace

La patience rend tolérable ce qu'on ne peut empêcher.

dimanche 8 avril 2007

Illusions d'optique

http://www.neuromarketing.be/illusion3.gif

Fixez le point central et observez...
Et pourtant, seuls les points magenta existent dans l'image...

Une autre, plus originale : http://www.johnsadowski.com/big_spanish_castle.php#

Photos

Concernant les deux photos précédentes (j'en ai finalement supprimé une, la taille des fichiers faisant planter les ordinateurs...), il me semble que cela correspond bien à ce que j'ai pu voir sur des cartes, mais un petit doute persiste malgré les vérifications : que les connaisseurs n'hésitent pas à se manifester !
Bon, j'ai tout effacé, apparemment ça faisait tout planter...

Détail d'Orion

tempête de sable sur la Méditerranée, 10 février 2007

samedi 7 avril 2007

Fin de nuit

Un petit bonjour à tout le monde à quelques minutes du départ pour ce "chez-moi" où m'attend un lit, ô combien souhaité après une nuit un peu difficile...
Tiens, ça me donne une idée : il faudra que je vous raconte un peu les péripéties plus ou moins agréables qu'un veilleur de nuit peut avoir à vivre à l'occasion - ça fera sûrement monter le "blogimat" !
Bonne journée à tous et à toutes ! Je vous embrasse

jeudi 5 avril 2007

mercredi 4 avril 2007

François Rabelais






La tête perdue, ne périt que la personne ; les couilles perdues, périrait toute nature humaine.

Maître Eckhart





Les gens réfléchissent trop à ce qu'ils doivent faire et trop peu à ce qu'ils doivent être.

Jean Granier




La beauté, la vérité, la tendresse des êtres et des choses, rien de tout cela ne peut être possédé. Il faut donc apprendre à les désirer sans convoitise, à les aimer en renonçant à l'appropriation. Alors elles vous offrent la seule possibilité de joie permise à l'homme en ce monde : habiter en rêve auprès d'elles, dans la clarté de leur présence imaginaire.

Mâ Ananda Mayî




Question : Seriez-vous d'accord si je déclairais qu'il existe une hiérarchie dans le monde spirituel et que le Christ y serait en quelque sorte votre frère aîné ?
Mâ : On trouve tout dans le Christ, le frère, le père, le fils, le Bien-Aimé et l'on y trouve aussi Mâ.

Jean Biès

Par l'intermédiaire de l'histoire et de l'archéologie, de la littérature et du cinéma, l'époque actuelle abonde en rétrospectives, bilans, évocations de toutes les époques antérieures, inventaires de tout le passé qu'ils font revivre sous nos yeux. Ce fait ne s'était encore jamais produit, et offre une similitude avec le symbolisme du théâtre : la dernière scène d'une pièce rassemble tous les personnages et remémore les actions en une sorte de parade récapitulative. On pourrait également en rapprocher ce qui se passe à l'heure où le mourant voit se dérouler en film le contenu de son existence.

Changer de point de vue

Miguel de Unamuno (pour iPapy)

Il faut user les genoux davantage que les coudes.

Confucius






Celui qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour.

mardi 3 avril 2007

Proverbe chinois





C'est dormir toute sa vie que de croire à ses rêves.

Jean Granier


La sagesse ne consiste pas à modérer ses désirs, mais à ne compter que modérément sur la réalité pour les satisfaire.