Arunachala, la montagne sacrée.

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jeudi 26 avril 2007

Lanza Del Vasto




L'oeil qui voit tout ne voit pas son regard.
Nul n'a vu Dieu.
Car dans tout oeil c'est Dieu qui voit.

Eloge de la vie simple, § CLIV.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Lanza fut ma première grande rencontre, à la sortie de l'adolescence. Il était certainement inspiré, mais de là à vivre ce qu'il disait....

Vincent a dit…

Oui, mais qu'il ait vécu ou non tout ce qu'il écrivait (je ne l'ai jamais rencontré), ça ne change pas grand chose, pratiquement, à l'aide que m'apportent ses paroles que je lis - ce qui, au fond, est sans doute la seule chose qui compte, non ?