Arunachala, la montagne sacrée.

samedi 10 novembre 2007
vendredi 9 novembre 2007
mercredi 7 novembre 2007
mardi 6 novembre 2007
La comète Holmes est visible à l'oeil nu

La comète est en train d'exploser et son corps, nuage de poussières et de gaz illuminés par le soleil, a grossi au point de dépasser la taille de Jupiter.
Elle manque d'une queue habituellement associée à un tel corps céleste, mais peut être vue dans le quartier nord-est du ciel, au sein de la zone de la constellation de Persée, comme un point flou de lumière flou aussi brillant que les étoiles dans la Grande Ourse, étonnante surprise céleste.
Jusqu'au 23 octobre, elle était restée visible des seuls astronomes munis d'une lunette, mais dans la nuit de lundi, elle a subitement explosé et s'est largement étendue.
C'est une explosion similaire qui, en 1892, avait conduit à sa découverte par Edwin Holmes.
Rien de comparable n'a pu être observé depuis l'écrasement de la comète Shoemaker-Levy sur Jupiter en 1994.
Les scientifiques imaginent que la comète a explosé en raison de cavités dans son noyau, lui donnant une structure semblable à celle d'un nid d'abeilles. Leur affaissement ayant exposé la glace intérieure de la comète au soleil, celui transformant la glace en gaz.
Ce qui arrive aux comètes passant près du soleil reste inattendu, et dans ce cas, au lieu d'unnuage et d'une queue, nous observons une bulle de gaz en pleine expansion.
Personne ne sait exactement combien de temps le phénomène restera observable ni la durée de vie de la comète, mais certains le chiffrent en semaines ou en mois.
samedi 3 novembre 2007
Arnaud
vendredi 2 novembre 2007
Découverte d’un grand nombre de trous noirs
Les trous noirs actifs supermassifs étaient partout dans l’Univers primitif, indique Mark Dickinson, du National Optical Astronomy Observatory (Tucson, Arizona). Le sommet de l’iceberg avait été auparavant aperçu lors des recherches relatives à ces objets, et maintenant l’on peut voir l’iceberg lui-même, précise-t-il.
Ces recherches constituent par ailleurs le premier témoignage selon lequel la plupart des galaxies massives de l’Univers distant, sinon toutes, lors de leur jeunesse, construisaient d’énormes trous noirs en leur cœur. Pendant des décennies, une large population de trous noirs était considérée comme manquante. Ces structures hautement énergétiques appartiennent à une classe de trous noirs appelés quasars.

Les scientifiques avaient entrepris d’étudier 1.000 galaxies poussiéreuses massives grandes génératrices d’étoiles considérées comme étant dépourvues de quasars. Les galaxies étaient de la même masse que la Voie Lactée, mais irrégulières dans leur forme. Situées à une distance allant de 9 à 11 milliards d’années-lumière, elles existaient à l’époque du jeune Univers, lorsque celui-ci avait entre 2,5 et 4,5 milliards d’années.
Lorsque les astronomes observèrent plus précisément ces galaxies avec le télescope Spitzer, détecteur de rayonnement infrarouge, ils notèrent qu’environ 200 galaxies émettaient une quantité inhabituelle de lumière infrarouge. Les données relatives au rayonnement X, recueillies par Chandra, ont révélé que les galaxies abritaient des quasars en abondance. Les scientifiques pensent désormais que les quasars chauffent la poussière au sein de leur nuage environnant en forme d’anneau, libérant l’excès de lumière infrarouge.
Les chercheurs ont ainsi trouvé la majeure partie da la population de quasars cachés dans le jeune Univers. Auparavant, seulement les plus énergétiques et rares de ces trous noirs cachés étaient observés à ces débuts.
L’étude, publiée en novembre dans l’Astrophysical Journal, a été dirigée par Emmanuelle Daddi, du Commissariat à l’Energie Atomique (France).
dimanche 28 octobre 2007
L'énigme des cartes

La carte de Piri Reis est devenue célèbre mais elle n’est pas la seule carte ancienne, et authentifiée, qui pose bien des problèmes aux scientifiques. Cette carte a été étudiée par le capitaine Mallery qui découvre donc que cette carte représente une partie de l’Antarctique. Ce continent est pourtant recouvert de glaces depuis au moins 10 000 ans et n’a été découvert officiellement qu’en 1818. Pourtant, la côte de la terre de la reine Maud est cartographiée sans glace, ce qui est incroyable.
D’après les géologues, il semble que ce littoral soit resté libre de glaces, de manière durable, durant au moins 9 000 ans avant qu’il n’ait été englouti par la calotte glaciaire. Le développement des premières civilisations connues ne s’est produit que bien longtemps après cette date. Finalement, la véritable énigme posée par cette carte de 1513 n’est pas tant le fait qu’elle comprenne un continent isolé et inconnu jusqu’au 19è siècle mais surtout qu’elle décrive une partie de sa côte dans des conditions climatiques qui ont pris fin il y a environ 6 000 ans et ne se sont jamais reproduites depuis. Piri Reis reconnaît qu’il n’est pas responsable du relevé et de la cartographie d’origine. Son rôle a été celui d’un compilateur et d’un copiste. Certaines cartes dont il s’est inspiré remontaient, d’après lui, au quatrième siècle avant J.-C, voire même avant. Il ne connaissait pas l’identité des cartographes. La carte fut envoyée au Professeur Hapgood. Il arriva à une conclusion surprenante qu’il expliqua en 1966 dans son ouvrage Maps of the ancient sea kings « les cartes des anciens rois de la mer ». Voici des extraits de ses conclusions : « Il semble que des informations géographiques d’une grande précision se soient transmises de peuple en peuple. Ces cartes, selon toute vraisemblance, ont été dressées par un peuple inconnu, puis léguées à d’autres civilisations, peut-être les Crétois de l’époque de Minos et les Phéniciens ». « La plupart de ces cartes concernaient la Méditerranée et la mer Noire. Certaines représentaient le continent américain, ainsi que les océans Arctique et Antarctique. Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous avons la preuve qu’un peuple ancien a exploré l’Antarctique quand ce continent était encore libre de glaces. Il est manifeste que ce peuple disposait d’une technologie nettement supérieure à toutes celles des peuples de l’Antiquité, du Moyen-Age et jusqu’à la seconde moitié du 18è siècle ». Malgré le soutien d’Albert Einstein, Hapgood fut ridiculisé par ses paires jusqu’à sa mort. Il est à noter qu’aucun chercheur depuis ne s’est penché sérieusement sur ces cartes. Pourtant, ces cartes représentent les continents européens et africains avec une incroyable précision à une époque où le calcul de la longitude est inconnu.
En Amérique, l’énorme île de Marajo, découverte seulement en 1543 et très mal cartographiée jusqu’à la fin du 16è siècle, est dessinée avec exactitude. On y trouve également les Andes ; un lama figure dans l’ornementation alors que les européens n’ont encore jamais vu cet animal. D’autres points sont encore plus intrigants. Il y a, par exemple, deux grandes îles au dessus de l’équateur qui n’existent plus de nos jours.
La localisation de l’une d’elle correspond au plateau sous-marin situé sous les îlots Saint-Pierre et Saint-Paul. D’autres îles figurent au Pôle Sud, cachées sous la glace qui ne seront connues qu’en 1958. Si la carte de Piri Reis était unique, on pourrait sans doute être sceptique et parler de coïncidences. Mais, cette carte est loin d’être la seule.
D’autres cartographes ont partagé les mêmes secrets. La carte d’Oronce Fine (Oronteus Finaeus) datée de 1531 est tout aussi incroyable.

Et que dire de la carte d’Hadji Ahmed datée de 1559 qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest. La forme actuelle des Etats-Unis y est parfaitement reproduite. Cette perfection ne sera atteinte que deux siècles plus tard. Cette carte représente également une bande de terre large de plus de 1 500 km, reliant l’Alaska à la Sibérie. Ce pont a bel et bien existé (actuel détroit de Behring) mais il a été submergé par la montée des eaux à la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 10 000 ans. Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais, montrent l’Europe du Nord et son glacier tel qu'il était il y a 12 000 ans et la Méditerranée dont le niveau correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.
D'autres cartes sont troublantes :
Celles de Ptolémée, datant du IIe siècle et retrouvées au XVe siècle, montrent le Groenland non entièrement recouvert de glace et des glaciers en Suède tels qu'ils étaient il y a 10 000 ans. Celle gravée sur un pilier en 1137, en Chine, tracée selon une grille faisant appel à la trigonométrie sphérique (technique utilisée dans les autres cartes occidentales citées ci-après). Divers portulans, notamment celui de Dulcert (1339), d'une précision de notre temps, sur la Méditerranée et l'Europe de l'Irlande à la Russie. Les latitudes y sont parfaitement exactes et l'erreur maximale des longitudes est inférieure au demi-degré. Celle du portugais De Carneiro (1502) qui représente toutes les côtes d'Afrique avec une grille utilisant également la trigonométrie sphérique. Celle de Jorge Reinel (1510) qui montre l'Océan Indien avec une étonnante précision des longitudes. Celle de Zeno (1380 recopiée en 1558) montre le Groenland sans glaces, avec ses montagnes et des îles inconnues (?). Mercator (1512-1594) lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l'Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d'Oronte Fine. Gerhard Kremer alias Mercator est un mathématicien et géographe flamand qui inventa le système de projection cartographique qui porte son nom. On sait qu'il visita l'Egypte en 1563 et qu'il passa la plus grande partie de sa vie à réunir une documentation importante sur la cartographie de l'Antiquité. Un détail amusant : sa description de l'Antarctique est plus précise que celle de l'Amérique du sud et de l'Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable ! ...
La liste des cartes existantes serait trop longue à détailler. Une chose est certaine, ces cartes ne sont pas le fruit du hasard et ont toutes la même source. Ces cartes sont connues et répertoriées par les organismes spécialisés. On les trouve également dans des atlas, comme celui de Nordenskjöld de 1889. La falsification a été écartée par les scientifiques mais ils préfèrent malgré tout ignorer le sujet. Le seul qui s’y est penché est Paul Emile Victor quand il s’est aperçu en 1950 que la carte de l’italien Zeno avait plusieurs siècles d’avance sur ses découvertes en montrant le sous-sol rocheux du Groenland.

Alors, que penser de tout ça ? En fait, si on écarte toutes les possibilités farfelues et invraisemblables, il n’en reste qu’une qui colle aux énigmes qui jalonnent notre histoire. Il semble évident que les différentes cartes sont le fruit d’un travail de topographie établi sur une très longue période, plusieurs milliers d’années. Les cartes montrent par exemple l’Antarctique à différentes périodes de sa progressive glaciation. Pour reprendre les conclusions d’Hapgood, l’Antarctique a été visité et peuplé par l’homme à une époque où il n’était pas censé exister.
En résumé, on peut dire que : L’antarctique jouissait d’un climat chaud à une époque où il était situé à environ 3 000 km au nord du cercle antarctique actuel. (Fait prouvé par les découvertes récentes). L’Antarctique n’a trouvé sa position actuelle que sous l’effet du déplacement de l’écorce terrestre. Cette théorie ne doit pas être confondue avec la théorie de la tectonique des plaques et de la dérive des continents. Ce mécanisme démontre que l’ensemble de la croûte terrestre (lithosphère) peut basculer de temps en temps. (Théorie défendue par A.Einstein) Le glissement de l’Antarctique vers le sud a provoqué un refroidissement progressif ainsi que la formation d’une calotte glaciaire. Albert Einstein a parfaitement résumé le processus : Un dépôt continuel de glace s’opère dans les régions polaires. Cette glace ne se répartit pas de manière égale autour du pôle. La rotation de la Terre agit sur ces dépôts dissymétriques imprime une force centrifuge qui agit sur la croûte rigide de la Terre. Cette force centrifuge induit, à partir d’un certain seuil, un déplacement de la croûte terrestre sur le reste du globe. Les conséquences d’un tel déplacement ont du être considérables sur l’ensemble de la planète : extinctions massives d’espèces animales, séismes, inondations, changements radical de climat sur les continents… En 1953, A.Einstein écrivait : « Le mécanisme du déplacement de la croûte terrestre aurait pour effet de déplacer les régions polaires vers l’équateur ».
Si on rassemble toutes ces preuves, on ne peut qu’en déduire qu’une civilisation semble s’être développée vers 13 000 ans avant notre ère pour disparaître ensuite.
Toutes les parties du monde ont été cartographiée entre environ – 13 000 et – 4 000 ans. A ce jour, le seul continent qui n’a pu être exploré à cause de la couche de glace qui le recouvre est l’Antarctique. Est-il possible que sous cette glace se cache les vestiges de cette civilisation ? Peut-être mais ce continent dont la superficie est d’une fois et demi celui de l’Europe est recouvert d’une couche de glace pouvant aller jusqu’à 6 km d’épaisseur. Cette glace recouvre des montagnes aussi hautes que les Alpes.
Autant dire que l’exploration des sous-sols demanderait des moyens colossaux. De nombreuses découvertes ont été effectuées ces dernières années qui prouvent formellement que l’Antarctique a bénéficié d’un climat tempéré il y a seulement 100 000 ans. La mobilité de l’Antarctique ne fait plus aucun doute car aucun arbre ne peut pousser sur une terre plongée dans l’obscurité six mois de l’année. La forêt côtière fossilisée découverte en 1990 ne datait que de deux à trois millions d’années.
Selon toute vraisemblance, les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d'Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise par les Vénitiens (grands navigateurs) en 1204, puis diffusées d'une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.
Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu'il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant :
- Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée : Trigonométrie sphérique. Translation trigonométrique. Projection cordiforme. Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires...
- Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
- Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
- Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes... certains ont même remarqué qu'atteindre le degré de précision de certaines cartes était difficilement concevable autrement qu'au moyen de relevés aériens.
Or c'est seulement à cette époque que l'homme serait sorti de ses grottes et aurait commencé à se "civiliser" au Moyen-Orient. Pourtant il semble bien que l'ensemble de la planète ait été déjà cartographiée.
Sur le sujet, un livre également (c'est en le lisant que j'ai pris connaissance de l'existence de ces cartes "impossibles") : Civilisations englouties, de Graham Hancock - passionnant
samedi 27 octobre 2007
Swami Satyananda (1896 -1971)
Appelle-moi con
vendredi 26 octobre 2007
Encore un petit thé fort ?
jeudi 25 octobre 2007
Les plus anciennes traces d’Homo sapiens

A cette époque reculée, en cette région, les humains ont élargi leur régime alimentaire en y incluant les crustacés et autres ressources marines, probablement en réponse à de dures conditions climatiques, note Curtis Marean, professeur à l’Arizona State University’s School of Human Evolution and Social Change. Ce comportement est le plus ancien jamais observé, ajoute-t-il. Outre cette évolution du régime alimentaire et l’utilisation de pigments pour des comportements symboliques, les chercheurs ont relevé l’existence de la technique complexe de la lame en pierre, auparavant datée de moins 70.000 ans.
Ces découvertes non seulement repoussent dans le temps les débuts des marques évolutives des humains modernes, mais montrent que les styles de vie centrés sur les habitats et ressources côtiers pourraient avoir été cruciaux dans l’évolution et la survie des humains.
Après des décennies de débats, les paléoanthropologues sont tombés d’accord sur le fait que les indications génétiques et fossiles suggèrent que les humains modernes – Homo sapiens – sont apparus en Afrique entre moins 100.000 et moins 200.000 ans. Mais en quelle région d’Afrique cette étape cruciale est-elle intervenue? Entre moins 125.000 et moins 195.000 ans, la Terre traversait une période glaciaire, et la majeure partie de l’Afrique était sèche, essentiellement désertique. En de nombreux endroits, s’alimenter était un exercice difficile. Les données paléoenvironnementales indiquent que seulement cinq régions dans toute l’Afrique se prêtaient à la survie, déclare Marean. A la recherche du «site parfait» à explorer, les chercheurs ont analysé, entre autres données, les courants océaniques, les données climatiques et les formations géologiques. Ils ont ainsi déterminé un lieu favorable à la présence d’une de ces populations-mères : le Cap, en Afrique du Sud, au Pinnacle Point.
D’une manière générale, les zones côtières n’étaient guère utiles aux premiers humains, ceux-ci ne sachant comment utiliser la mer en tant que source de nourriture. Pendant des millions d’années, nos plus anciens parents chasseurs-cueilleurs ne consommaient que des animaux et des plantes terrestres. Les crustacés ont été une des dernières additions au régime alimentaire avant l’introduction des plantes cultivées et des animaux domestiqués. Les plus anciens indices de l’utilisation humaine des ressources marines et des habitats côtiers remontaient jusqu’alors à moins 125.000 ans. Les dernières recherches montrent que celle-ci avait débuté au moins 40.000 ans plus tôt.
Les zones côtières procurent généralement de grandes routes de migration, indique Marean. Le fait de savoir comment exploiter la mer pour s’alimenter signifie que ces premiers humains modernes pouvaient désormais intégrer les zones côtières dans la gamme de leur lieu d’habitation et de production et se mouvoir sur de longues distances.
Cette découverte montre que l’Afrique, et particulièrement l’Afrique du Sud, a été précieuse en ce qui concerne le développement de la biologie et du comportement de l’homme moderne. Il y aurait eu à l’extrême sud de l’Afrique une petite population d’humains modernes qui, durant cette période glaciaire, se maintenait par le biais de la consommation des produits de la mer et l’utilisation de technologies avancées. Leurs actes et comportements symboliques auraient été importants en terme de relations sociales. Cette population a pu être la population-mère de tous les humains modernes, avance Marean.
mardi 23 octobre 2007
Confiance et Providence
Pas de ça à la maison
Conte du Bouddha

vendredi 19 octobre 2007
Bienvenue Marie
Et l'occasion de me poser pas mal de questions métaphysiques.
jeudi 18 octobre 2007
Lucky Luke (pour J-P décono-Petto)
I'm a poor lonesome cowboy
I'm a long long way from home
And this poor lonesome cowboy
Has got a long long way to roam
Over mountains over prairies
From dawn till day is done
My horse and me keep riding
Into the setting sun
P.S. : "Swamiji, l'homme qui dit oui plus vite que ses émotions"
(Arnaud, de mémoire, dans A la recherche du Soi, je ne sais plus quel tome)
mardi 16 octobre 2007
Nietzsche
Nous reconnaîtrons alors que le vouloir n'est qu'une hypothèse.
t. I, l II, § 200, p. 260.
Arnaud
lundi 15 octobre 2007
Shrî Aurobindo
samedi 13 octobre 2007
Une dernière pour la route, Linda !
vendredi 12 octobre 2007
jeudi 11 octobre 2007
Mâ Anandamayi
Enigme
mercredi 10 octobre 2007
lundi 8 octobre 2007
Maître Dogen
samedi 6 octobre 2007
vendredi 5 octobre 2007
Osho

La vie n'a aucune obligation d'être en accord avec vos conclusions.
C'est pourquoi l'homme de savoir est confus devant la vie.
L'homme de savoir a des réponses toutes prêtes, que ce soit la Bhagavad Gîta, le Coran, la Bible, les Védas. Les réponses sont déjà entassées dans sa tête, il connaît déjà les réponses.
Mais la vie ne repose jamais les mêmes questions et, du coup, l'homme de savoir répond toujours à côté.
jeudi 4 octobre 2007
Free Burma
"Des blogueurs dans le monde entier préparent une action pour supporter la révolution pacifique en Birmanie. Il s'agit d'exprimer sa solidarité avec tous les Birmans qui se révoltent sans armes contre la dictature. Les blogueurs sont invités à ne pas alimenter leur blog pendant la journée du 4 octobre, en ne publiant qu'un seul billet avec le texte “Free Burma” ou avec une photo et une bannière"
mercredi 3 octobre 2007
mardi 2 octobre 2007
Avis à la Sangha
C'est mal, j'ai péché mes frères
Mais c'est plus que marre !
Déjà, je vous le dis tout de suite, je n'ai pas tenu les 3 heures par jour tous les jours. Jusque-là, pas de surprise. Mais j'ai poussé le vice jusqu'à zapper la demie-heure de méditation... Si, si.
A présent, je rattrape ça avec 2 fois 1/2 heure ; mais bon, la culpabilité reste.
Donc oui, ce soir, j'en ai vraiment, vraiment pas envie... mais je m'y colle, à cette thèse. Peut-être que dans trois ou quatre heures je sortirai marcher un peu, voire boire un Mojito à votre santé !
Sinon pas de panique, la thèse avance quand même, et je compte bien la terminer dans les temps - je ne veux pas d'ennui avec le coach !

A part ça, aujourd'hui je me suis fait trois cadeaux. Cela faisait presque un an et demi que j'avais envie de m'acheter un jeu de tarot, et le post de Julie à propos du site d'Osho m'a décidé - enfin ce qui m'a décidé c'est de tester le tarot d'Osho en ligne.

DONC : aujourd'hui, je suis allé chercher un tarot de marseille (l'ancien), un livre d'introduction (conseillé par le libraire qui pratique), et le coffret du tarot zen d'Osho. Je vous en dirai des nouvelles.